
Dans
le "Petit Chaperon rouge", un commentaire témoigne d’un état
transitoire entre l’oral et l’écrit. En marge de l’ultime réplique
du loup "C’est pour te manger", est écrit : "On
prononce ces mots d’une voix forte pour faire peur à l’enfant comme
si le loup l’alloit manger".
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