Aujourd'hui nous avons joué petit jeu, mais la bosse du jeu se développe. Vie stupide. Ianouchkévitch m'a tiré les cartes qui annoncent tout net un changement de vie — et, à vrai dire, telle est bien l'expression de mes plus chers désirs. Vraiment, le bonheur pour moi consiste en une vie honnête. -- Joué à la préférence, et la passion des cartes sévit durement Joué
aux cartes, perdu quarante roubles, et j'y jouerai encore Pénurie d'argent, et cette situation me fait redouter d'être déconsidéré, ce qui prouve que je pourrais mal agir. Je ne veux
plus jouer aux cartes. Je ne sais pas comment Dieu y pourvoira Reçu de l'argent — deux cents roubles envoyés par mon frère, sur lesquels il me reste quatre-vingt quatorze roubles que j'ai prêté, mais moi-même je dois. Perdu plus que je n'avais en poche. Balta m'a gagné mon fusil. Mon frère boit, ce qui me chagrine. Encore la journée de demain et je cesserai de jouer. Et après l'expédition – servir. -- Le 16 et dans la nuit du 17 février (1853) il y eut une action d'artillerie. Je me suis bien comporté. Pendant tout ce temps là, j'étais en veine quant au jeu ; à cette heure là je n'ai plus d'argent, bien qu'on m'en doive. Je n'ai pas été décoré et fus de piquet par la grâce d'Olifer. Ainsi donc, le service au Caucase ne m'a rien rapporté que peines, gaspillage de temps, mauvaises fréquentations. J'ai perdu tout ce que je possédais et suis resté devoir quatre-vingts roubles à Ogoline, six à Ianovitch, cinquante à Sokovnine et soixante-dix-huit à Constantinov : total deux cent quatorze roubles que je dois, après en avoir mangé deux cent trente. C'est mal. Le fait que je n'ai pas obtenu la croix m'a fort contristé. Je regrette même de n'avoir pas donné ma démission d'officier
Si je n'ai pas péché le mardi de la semaine sainte, c'est uniquement que le Seigneur m'en a préservé — J'ai continué le même train de vie que durant la campagne, en joueur qui craint de vérifier les comptes portés â son débit. J'ai perdu avec une extrême facilité cent roubles J'ai dîné, joué au piquet, tiré les cartes alors que j'aurais dû travailler Ai joué aux barres avec des gamins et des officiers. Je n'étais pas ivre ; mon frère non plus ce qui m'a fait grand plaisir —Passé tous ces jours-ci à peu près comme le premier : j'ai joué
aux barres, contemplé les filles et me suis enivré une fois chez Joukévitch -- Mes désirs
actuels sont les suivants : recevoir la croix militaire et ma nomination à un poste fixe, et
que mes deux récits soient une réussite De l'argent : reçu par la poste quarante—cinq
roubles pour un conte Il m'est indispensable de posséder une femme. La luxure ne
me laisse pas une minute de répit Ça va mal. J'ai beaucoup baissé. Abandonné mon
récit pour écrire "Adolescence" avec autant de soin que j'écrivis "Enfance". J'espère que
ce sera aussi bien. Toutes mes dettes sont liquidées. Une brillante carrière s'ouvre devant
moi J'ai la perspective de monter en grade. Je suis jeune et intelligent. Que désirer
de plus, semble-t-il ? Je dois travailler et me modérer : je puis encore être heureux
Joué aux cartes et perdu mon cheval Sultan. Il me reste vingt huit roubles pour tout
argent. Six pour une paire de bottes, quatre pour un pardessus – restera dix-huit. Il faudra
économiser Me suis baigné deux fois et le soir ai joué à la préférence. Il m'a été trop agréable
de gagner huit roubles en argent. Cela n'est pas bien Joué aux cartes à un demi copeck la
partie Dîné, joué aux cartes, d'où trois heures perdues - joué à la préférence après le
souper — Joué aux cartes ; il faudra m'en débarrasser cela me prend trop de temps ; lu et de
nouveau joué aux cartes Passé toute la soirée à jouer aux cartes. L'exécrable habitude - —
Après souper joué aux cartes jusqu'à deux heures. Qu'il est facile d'acquérir de mauvaises
habitudes ! Je me suis déjà fait à jouer après le souper — Ne pas prendre les cartes en mains,
ne jamais regarder jouer les autres — Il me faut redouter l'oisiveté et le désordre
autant que je redoute les cartes -- J'ai dîné, joué aux échecs de façon piteuse et me suis
encore vanté J'ai joué aux cartes et fus obligé d'emprunter de l'argent. Situation
humiliante pour n'importe qui et surtout pour moi -- Je suis laid, gauche, malpropre et
sans vernis mondain. Je suis irritable, désagréable pour les autres, prétentieux, intolérant et timide
comme un enfant. Je suis ignorant. Ce que je sais, je l'ai appris par-ci, par-là, sans suite et encore si
peu ! Mais il y a une chose que j'aime plus que le bien : c'est la gloire. Je suis si ambitieux que s'il me fallait choisir entre la gloire et la vertu, je crois bien que je choisirais la première — Joué au "stoss" deux jours et deux nuits. Le résultat en est clair perte de la maison de Iasnaïa Poliana (sa maison natale) ---- De nouveau joué aux cartes et perdu deux cents roubles. Je ne puis me promettre de cesser de jouer; j'espère me rattraper, en même temps je risque de m'embrouiller terriblement. Je voudrais récupérer les trois mille que j'ai perdus, ce qui est impossible, tandis qu'il n' a rien de plus facile que de perdre encore quatre cents roubles. Que faire alors ? Très mauvais. Sans parler de la perte de temps et de santé. Proposerai demain à Odakhovski de rejouer, et cela pour la dernière fois — Perdu encore quatre-vingts roubles ... je veux encore tenter ma chance aux cartes — Perdu hier encore vingt roubles., Je ne jouerai plus Occupé à des
combinaisons de calculs pour le stoss ; pas une seule règle sûre mais les suivantes sont probables : 1° sortir de la poche et poser sur la table une certaine somme au delà de laquelle ne plus perdre ; 2° quand j'aurais gagné deux fois le montant de la somme fixée pour être perdue, la cacher, et avec la première jouer aussi longtemps qu'il y aura désir, jeu et argent; 3° miser toute la somme d'un coup, et si je la perds, ne me remettre à jouer qu'après être resté vingt-quatre heures sans toucher aux cartes ; 4° jouer double enjeu – tripler l'un, le second restant constitué de cartes simples . (L'importance de l'enjeu dépend de celle de la banque et du désir que l'on a de finir rapidement ou non; toutefois l'enjeu doit toujours être inférieur à 1/12 de la
banque.) Pour le premier enjeu, tripler un nombre de cartes variant de 6 à 24; effacer l'ardoise
si le nombre des enjeux gagnés est supérieur au nombre de ceux qui y sont inscrit tripler ceux qui
restent de x à quatre, et après avoir effacé l'ardoise surtout les enjeux constitués de cartes simples,
s'ils ont été gagnés. Jouer le second enjeu avec des cartes simples, les battre et les donner par
quatre en fixant le jeu à 32 cartes, soit le nombre en rapport avec celles qui ont été battues et
distribuées, au dessus de 52 cartes diminuer ou augmenter l'enjeu. (En cas de chance,
lorsqu'on a déjà gagné le tiers du jeu, on peut jouer à cinq cartes, en comptant les enjeux simples et
triplés pour cent quatre cartes). En cas de malchance, on peut au contraire jouer à trois
cartes sur 26 et à 2 sur 13 et sur x sans tripler. En un mot, toute diminution du jeu est tolérée, pourvu que celui-ci soit divisé par périodes et s'effectue conformément à des règles déterminées Perdu le soir 8 roubles au whist Joué le soir avec Eserki à l'écarté, après avoir limité ma perte â dix roubles ; en effet, je me suis arrêté â ce chiffre. Quelques pertes de ce genre seront pour moi un gain énorme ; j'éprouve mon caractère et j'apprends â, me fier â lui ~- - Règles. Fixer pour l'année les sommes destinées à être perdues mensuellement, dont on ne soustrait pas et auxquelles on n'ajoute pas le gain régulier, c'est à dire égal à la perte supposée; à cette somme vient s'ajouter l'argent qui reste du mois écoulé. Pour l'année courante, jusqu'au ler juillet 1856, je me fixe 75 roubles par mois. Perdu 17 roubles 90 copecks . Gagné 25 roubles par conséquent ai le droit de perdre encore 82 roubles 10 copecks
— Joué aux cartes, perdu 13 roubles ; total à perdre 69r. 10 copecks - Joué au whist chez
Gagmann... Perdu 2 roubles 70 kopecks – Total à perdre 66 roubles 40 copecks — Perdu 8 roubles 60copecks ; total à perdre ce mois 57roubles 80copecks ; 25 roubles prêtés, dont il reste 32roubles 80copecks — Perdu 1 rouble.50 copecks ; il reste 26 roubles et demi ou 5l roubles et
demi Le soir joué aux échecs et aux cartes, perdu 4 roubles 80 copecks. il me reste au total
28roubles ou 53 roubles. Paresse. Règles. En modification de la règle qui consiste à fixer mes pertes à 75 roubles par mois, je me propose de vivre et de jouer pour 100 roubles par mois — Joué toute la journée à la banque seul avec moi-même. J'ai dégagé les règles suivantes : 1° l'enjeu, seizième partie de la somme à perdre ; 2° augmenter et diminuer l'enjeu à la treizième carte ; 3° effacer l'ardoise de la première série jusqu'à un chiffre de cartes fixés; 4° ne pas tenir compte du second enjeu ou d'une somme qui lui est inférieure, au cas où elle viendrait à manquer. Si elle existe ou qu'elle soit supérieur au deuxième enjeu, tripler le tout. Paresse. Désordre. Règles de jeu. Aller jusqu'à perdre un certain enjeu, gagner le triple en jouant à 3, et jouer jusqu'à ce triple gain soit obtenu ; en mettre alors la moitié dans ma poche, et quant à la seconde moitié, la gagner trois fois, et ainsi de suite à l'infini, c'est à dire jusqu'à ce que je sois parvenu à gagner ce qu'il faut. En calculant ainsi non seulement pour une soirée, mais en tout temps, c'est à dire au cas où, en fin de jeu, il resterait des sommes misées qui n'auraient pas été perdues, ainsi que la moitié misée, ou bien qui n'auraient pas été gagnées. Voici les chiffres à
banque.) Pour le premier enjeu, tripler un nombre de cartes variant de 6 à 24; effacer l'ardoise
si le nombre des enjeux gagnés est supérieur au nombre de ceux qui y sont inscrit tripler ceux qui
restent de x à quatre, et après avoir effacé l'ardoise surtout les enjeux constitués de cartes simples,
s'ils ont été gagnés. Jouer le second enjeu avec des cartes simples, les battre et les donner par
quatre en fixant le jeu à 32 cartes, soit le nombre en rapport avec celles qui ont été battues et
distribuées, au dessus de 52 cartes diminuer ou augmenter l'enjeu. (En cas de chance,
lorsqu'on a déjà gagné le tiers du jeu, on peut jouer à cinq cartes, en comptant les enjeux simples et
triplés pour cent quatre cartes). En cas de malchance, on peut au contraire jouer à trois
cartes sur 26 et à 2 sur 13 et sur x sans tripler. En un mot, toute diminution du jeu est
tolérée, pourvu que celui-ci soit divisé par périodes et s'effectue conformément à des règles
déterminées Perdu le soir 8 roubles au whist Joué le soir avec Eserki à l'écarté,
après avoir limité ma perte â dix roubles ; en effet, je me suis arrêté â ce chiffre. Quelques pertes de ce genre seront pour moi un gain énorme ; j'éprouve mon caractère et j'apprends â, me fier â lui — Règles. Fixer pour l'année les sommes destinées à être perdues mensuellement, dont on ne soustrait pas et auxquelles on n'ajoute pas le gain régulier, c'est à dire égal à la perte supposée; à cette somme vient s'ajouter l'argent qui reste du mois écoulé. Pour l'année courante, jusqu'au 1er juillet 1856, je me fixe 75 roubles par mois. Perdu 17 roubles 90 copecks . Gagné 25 roubles par conséquent ai le droit de perdre encore 82 roubles 10 copecks
Joué aux cartes, perdu 13 roubles ; total à perdre 69r. 10 copecks - Joué au whist chez Gagmann... Perdu 2 roubles 70 kopecks – Total à perdre 66 roubles 40 copecks — Perdu 8 roubles 60copecks ; total à perdre ce mois 57roubles 80copecks ; 25 roubles prêtés, dont il reste
32roubles 80copecks Perdu 1 rouble. 50 copecks ; il reste 26 roubles et demi ou 5l roubles et
demi — Le soir joué aux échecs et aux cartes, perdu 4 roubles 80 copecks. il me reste au total 28 roubles ou 53 roubles. Paresse. Règles. En modification de la règle qui consiste à fixer mes pertes à 75 roubles par mois, je me propose de vivre et de jouer pour 100 roubles par mois — Joué toute la journée à la banque seul avec moi-même. J'ai dégagé les règles suivantes : 1° l'enjeu, seizième partie de la somme à perdre ; 2° augmenter et diminuer l'enjeu à la treizième carte ; 3° effacer l'ardoise de la première série jusqu'à un chiffre de cartes fixés; 4° ne pas tenir compte du second enjeu ou d'une somme qui lui est inférieure, au cas où elle viendrait à manquer. Si elle existe ou qu'elle soit supérieur au deuxième enjeu, tripler le tout. Paresse. Désordre. Règles de jeu. Aller jusqu'à perdre un certain enjeu, gagner le triple en jouant à 3, et jouer jusqu'à ce triple gain soit obtenu ; en mettre alors la moitié dans ma poche, et quant à la seconde moitié, la gagner trois fois, et ainsi de suite à l'infini, c'est à dire jusqu'à ce que je sois parvenu à gagner ce qu'il faut. En calculant ainsi non seulement pour une soirée, mais en tout temps, c'est à dire au cas où, en fin de jeu, il resterait des sommes misées qui n'auraient pas été perdues, ainsi que la moitié misée, ou bien qui n'auraient pas été gagnées. Voici les chiffres à
partir de 75r. qui s'échelonneront sur 12 séances : 75r, 112 r.50cop, 168r.75c., 253r.12 1/2c.,
378r.84c., 569r.76c., 854r.64c., 1.281r.96c., 1922r.94c., 2.884r. 41 1/2c., 4.326r.62c. 6.489r.92c., total,
19.319r.46c. déduction faite de la dernière séance, que l'on comptera 25.809r.37c. Il est préférable de carter. Les règles du repli sont en général les mêmes que celles du jeu. Ne ponter que
sur une banque où l'on puisse gagner le double de ce que l'on s'était proposé de perdre
Joué seul au stoss Règles de jeu : il est préférable de carter, ponter de la manière
suivante : un premier enjeu égal à 1/16, la masse déterminera les sommes. L'enjeu demeurera invariable et sera toujours triplé sur cinq cartes. La masse variera comme il suit : 7 M.+1/l0masse +8=M.+3/10+9=M.+5/10+10=M.+7/10+11=M.+9/10+9/10+12=M. +11/10+13=M.+13/10–7=M.1/10–8=M3/10–9= M. 13/10–13=M. 13/10. M. signifie la masse précédente. Jouer une fois tous les jours jusqu'à 7 jours d'affilée de perte ou de gain ... Aujourd'hui joué et perdu 75 r7 Perdu encore 75 r. en deux reprises — Perdu 75 r. par gros tas. Somme mensuelle – 80 r., afin que les enjeux soient égaux. Dans le cas ou la banque est inférieure à 80 roubles. je change non pas ce chiffre, mais le nombre des cartes
Joué tous les soirs aux cartes avec Rosen, n'ai pas suivi mes règles, mais n'en ai pas moins gagné 580 roubles. sur lesquels il me doit 550. L'essentiel est de jouer au comptant — Gagné 100 roubles à Odakhovski et suis quitte avec tout le monde en Crimée. Vendu Machtak. Me suis amusé. Décidé de vivre, à partir d'aujourd'hui, de mon seul traitement. Jouer avec l'argent que je reçois de la maison, si je perds "nec plus ultra" les 960 roubles. Toutes les sommes qu'on me doit et que je recevrai s'ajoutent au capital que je réunis, tout ce qui restera en plus à la caisse de la compagnie s'y ajoute également, mon gain au jeu de même. Jusqu'à présent je n'ai que les 200 r. de Rosen — Règles pour jeu. Les enjeux fixes sont augmentés ou diminués selon gain ou perte, sans toutefois dépasser 80 roubles par mois. Exception : si on gagne au premier coup 80r. on ne les risque plus Une semaine durant je n'ai rien noté dans ce journal. Perdu quinze cents roubles nets. Sébastopol est pris. J'y suis allé le jour de mon anniversaire. Travaillé à composer la description, c'est bien. J'ai menti à Rosen à qui
je dois trois cents roubles Mes finances se trouvent dans l'état suivant. On me doit 2.200 r.
et moi-même j'en dois deux cents. Je recevrai de la maison dans le courant de cette année près de 2.500 roubles nets. J'ai sur moi huit rouble -- Gagné encore 530 roubles aux cartes. Acheté
un cheval et une bride pour 150 roubles Gagné encore 600 roubles nets ; l'on m'en doit près
de 700 Je suis à Pétersbourg, chez Tourgueniev (21 nov. 1855). Perdu avant mon départ
2.800 roubles et 600 roubles. Il m'a été très difficile de transférer ces dettes au compte de mes
débiteurs. Pris au village 875 roubles. Ici, je dois avoir une bonne conduite -- Je n'ai pas suivi mes règles de jeu, ai perdu plus que je n'avais sur moi et me suis laissé aller â la paresse — Perdu hier 500 roubles. Me fixe pour règle au jeu de ne jamais emprunter, ni prêter de l'argent. Ni gagner ni perdre en laissant des dettes. Ponter et tripler l'enjeu égal â 1/10 de la banque, jamais plus ; surtout miser après avoir fixé la somme maximum. Vendu mon cheval
rouan. Mes défauts essentiels : habitude d'être oisif et désordonné, luxure et passion du jeu ;
je vais m'entraîné contre eux Joué chez Dussot au billard, avec passion -- Je me fixe pour
règle constante : ne jamais franchir le seuil d'un cabaret ni d'un b(ordel) Allé chez Dussot. Tombé sur S en train de souper avec des amis et une fille. Jamais, jamais plus je ne mettrai les
pieds dans un endroit public si ce n'est à un concert ou au théâtre Joué aux carters. Gagné. Je veux travailler, j'ai trente ans.
En février 1862, Tolstoï perd encore mille roubles au billard. Il se marie en septembre après avoir fait lire à Sophie, sa fiancée, ses carnets témoins de ses turpitudes. Il laisse derrière lui cette période tumultueuse de sa vie qui a vu tout de même le succès de ses trois premiers romans : Enfance, 1852 ; Adolescence, 1854 ; Jeunesse, 1855.