Émilie Vialet
A6 - A10, Massy-Palaiseau (Essonne), 2006
Série « Coulisses d’autoroutes ».
Tirage argentiques couleur, 45 × 71 cm
Courtesy Galerie Schumm-Braunstein, Paris
La présence de l’homme dans le paysage se lit d’abord comme une place à (re)conquérir dans une époque où l’activité humaine sur la Terre est entendue comme plus néfaste que bénéfique. Ainsi, l’entrée dans l’ère anthropocène se définit comme l’inscription de l’être dans son cadre de vie. Cette inscription est d'ordre cicatriciel lorsqu'Émilie Vialet contourne les piles de béton et arpente les « coulisses d’autoroutes ».