Gervaise boite
Gervaise aux prises avec la rudesse de l’existence
Gervaise par elle-même 
L'idéal de Gervaise  
Gervaise par Coupeau 
Gervaise par Goujet 

Gervaise boitait de la jambe droite ; mais on ne s'en apercevait guère que les jours de fatigue, quand elle s'abandonnait, les hanches brisées. Ce matin-là, rompue par sa nuit, elle traînait sa jambe, elle s'appuyait aux murs.

Émile Zola, L'Assommoir,
 chapitre I.