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Gervaise
aux prises avec la rudesse de l’existence Gervaise par elle-même L'idéal de Gervaise Gervaise par Coupeau Gervaise par Goujet |
Gervaise boitait de
la jambe droite ; mais on ne s'en apercevait guère que les jours
de fatigue, quand elle s'abandonnait, les hanches brisées. Ce matin-là,
rompue par sa nuit, elle traînait sa jambe, elle s'appuyait aux murs. |