Cirque à l’Ancienne Alexis Gruss
44e création : Origines
2018
© Cirque Alexis Gruss
Le cirque des origines est un cirque équestre. Au fondement de cette nouvelle forme spectaculaire, l’équitation, l’acrobatie équestre et le dressage de chevaux, millénaires, sont inscrits pour la première fois dans un espace circulaire par un sergent major de la cavalerie royale britannique, Philip Astley, en 1768 à Londres.
C’est cette naissance il y a 250 ans et les flamboiements d’une grande épopée que célèbre en 2018 la troupe du Cirque à l’Ancienne Alexis Gruss dans son spectacle bien nommé : Origines. Derrière les prouesses à cheval de Charles et Alexandre, jeunes sauteurs et voltigeurs dans le numéro de jockey, jongleurs à cheval en duo, la maîtrise parfaite d’un carrousel de 18 chevaux par le maître-écuyer Alexis ou la performance de haute école de Gipsy montée en amazone, il y a une vie entière de travail quotidien, toujours recommencé, seul gage d’excellence. Au fil des créations, depuis plus de quarante ans, la famille n’a de cesse d’enrichir un répertoire inspiré des plus grands écuyers, cavaliers et voltigeurs dont les Gruss se sentent héritiers : Astley père et fils, qui se sont implantés à Paris en 1774, les Franconi, depuis Antonio qui inscrit le premier en France le nom de « Cirque » au fronton de son établissement en décembre 1807, François Baucher comparé au Centaure, Andrew Ducrow qui crée les plus grands exercices debout sur plusieurs chevaux…
Mais l’art équestre n’est pas la seule spécialité de la famille. Sa fidélité au modèle artistique né au XVIIIe siècle se nourrit de l‘exploitation d’autres talents à travers l’apprentissage de disciplines acrobatiques, l’art clownesque ou la pratique d’instruments de musique. Avec autant d’exigence.
Enfin, marqué sans doute par sa rencontre en 1974 avec Silvia Monfort, comédienne et directrice de compagnie, Alexis Gruss ne conçoit pas un spectacle sans le concours d’autres professionnels. Ainsi, mis en scène par Stephan Gruss, le fils aîné d’Alexis et Gipsy, le spectacle Origines est accompagné, rythmé, par un orchestre de 10 musiciens sous la baguette de Sylvain Rolland, ses artistes sont habillés par Bruno Fatalot et la piste par les lumières de Jean-Charles Pfauwadel. MM.
C’est cette naissance il y a 250 ans et les flamboiements d’une grande épopée que célèbre en 2018 la troupe du Cirque à l’Ancienne Alexis Gruss dans son spectacle bien nommé : Origines. Derrière les prouesses à cheval de Charles et Alexandre, jeunes sauteurs et voltigeurs dans le numéro de jockey, jongleurs à cheval en duo, la maîtrise parfaite d’un carrousel de 18 chevaux par le maître-écuyer Alexis ou la performance de haute école de Gipsy montée en amazone, il y a une vie entière de travail quotidien, toujours recommencé, seul gage d’excellence. Au fil des créations, depuis plus de quarante ans, la famille n’a de cesse d’enrichir un répertoire inspiré des plus grands écuyers, cavaliers et voltigeurs dont les Gruss se sentent héritiers : Astley père et fils, qui se sont implantés à Paris en 1774, les Franconi, depuis Antonio qui inscrit le premier en France le nom de « Cirque » au fronton de son établissement en décembre 1807, François Baucher comparé au Centaure, Andrew Ducrow qui crée les plus grands exercices debout sur plusieurs chevaux…
Mais l’art équestre n’est pas la seule spécialité de la famille. Sa fidélité au modèle artistique né au XVIIIe siècle se nourrit de l‘exploitation d’autres talents à travers l’apprentissage de disciplines acrobatiques, l’art clownesque ou la pratique d’instruments de musique. Avec autant d’exigence.
Enfin, marqué sans doute par sa rencontre en 1974 avec Silvia Monfort, comédienne et directrice de compagnie, Alexis Gruss ne conçoit pas un spectacle sans le concours d’autres professionnels. Ainsi, mis en scène par Stephan Gruss, le fils aîné d’Alexis et Gipsy, le spectacle Origines est accompagné, rythmé, par un orchestre de 10 musiciens sous la baguette de Sylvain Rolland, ses artistes sont habillés par Bruno Fatalot et la piste par les lumières de Jean-Charles Pfauwadel. MM.
Images liées
BnF, Éditions multimédias, 2021