Dès les premières décennies du XVIe siècle, les armateurs et marins des autres pays maritimes d’Europe occidentale, puis les états eux-mêmes, commencent à s’intéresser aux terres nouvellement découvertes, sources potentielles de nombreux profits (métaux et pierres précieuses, bois de brésil, pêches, fourrures, etc.), et à entamer ainsi le monopole ibérique établi par le traité de Tordesillas.